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BAC+3, BAC+5… QUELLES DIFFÉRENCES POUR LES RECRUTEURS ?

Bac + 3 ou Bac +5 quel choix faire ?

BAC+3, BAC+5… quelles différences pour les recruteurs  ?

Le choix des études est décisif pour une grande partie de notre vie. Alors pour les étudiants, le choix entre continuer leur parcours scolaire ou se lancer dans la vie active est parfois compliqué. Mais quel est le point de vue du côté du recruteur ? Y a-t-il de grandes différences entre un bac+3 et un bac+5 ? Les expériences professionnelles sont-elles plus privilégiées que les études ? C’est ce que nous allons décrypter dans cet article.

 

 

Les différences

Pour un employeur la différence entre un bac +5 et un bac+3 est la capacité du premier à manager une équipe et gérer un projet(technique, planning et budgétisation). La France est connue pour son goût des diplômes, master en tête. Une culture du bac +5 qui s’apparente parfois à un réflexe, les entreprises les recherchant pour des emplois qui n’exigent pas forcément un tel bagage de compétences. Aujourd’hui les choses évoluent.

 Les entreprises ont des besoins à bac +3 et 5, mais pour des postes différents. D’un côté, les manageurs intermédiaires, commerciaux ou, en marketing, assistant chef de produit. De l’autre des fonctions stratégiques ou certains métiers de la finance.

 

 

Bac+3 avantagé ?

La crise a deux effets antagonistes : d’un côté, les étudiants sont tentés de poursuivre leurs études, pour plus de sécurité ; de l’autre, les entreprises sont en quête de bons vendeurs, plus vigilantes sur les salaires et intéressées par les bacs +3… En effet, en moyenne « quand un diplômé de master touche une rémunération de 32 000 € annuels, celui de bachelor perçoit 26 000 € ». Un argument de poids. Le bachelor doit vous permettre d’entrer tout de suite dans la vie active si vous le souhaitez. Bien sûr, un programme généraliste rend pertinent le choix de se spécialiser en master.

À partir du niveau bac+3, les diplômés restent pour la plupart largement épargnés par le risque d’occuper des emplois non qualifiés. Mais au niveau licence, les résultats sont très hétérogènes : le taux de chômage des diplômés de niveau L3 varie de 2 à 21 % selon le type de diplôme ou les disciplines. Au niveau L3, il y a un avantage au niveau de la licence pro.

 

 

La solution ?

À cet égard, le système de l’alternance peut être une réponse judicieuse, car il rend le choix moins exclusif : vous n’êtes plus obligé d’arrêter vos études pour démarrer une vie professionnelle digne de ce nom, vous pouvez suivre deux années de master tout en continuant d’engranger de l’expérience.